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Publié le 26 Février 2013

http://images.allocine.fr/medias/nmedia/18/86/40/49/20327758.jpg Synopsis : A travers Oscar, un petit chimpanzé, nous découvrons l’apprentissage de la vie au cœur de la forêt tropicale africaine et suivons avec humour, émotion et angoisse ses premiers pas dans ce monde. Suite à un drame, il va se retrouver séparé de sa mère et laissé seul face à l'hostilité de la jungle. Jusqu'à ce qu'il soit récupéré par un chimpanzé plus âgé, qui va le prendre sous sa protection...
 
 
Film américain et Tanzanien, tourné en Côte d'Ivoire par une société basée en France. La mondialisation a parfois du bon...
 
     
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
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Mon humble avis : En 1960, les Chimpanzés vivant en milieu naturel étaient 1 million. Ils ne sont plus que 200 000...
Ce film documentaire de Disney Nature nous invite au plus profond de la forêt africaine, histoire de faire plus ample connaissance avec nos cousins primates.
Bien entendu, la prouesse technique est inestimable : superbes vues aériennes sur la jungle embrumée, sur des chutes d'eau... et puis, l'univers intimiste et très dense de cette forêt aux mille et un danger et où il faut bien survivre... Nous passons alors aux gros plans sur les animaux, leurs regards, leurs mimiques...
Oscar, le bébé chimpanzé dont on suit le parcours est forcément trop craquant : bébé, pas très adroit... On le prendrait bien dans nos bras, sauf qu'il est bien mieux chez lui qu'il ne pourrait l'être chez nous ! La vie des chimpanzés n'est pas de tout repos... Il faut défendre un territoire contre des groupes ennemis, et surtout, trouver à manger. Ce qui donnent lieux à des combats et des longs déplacements. Le spectateur que nous sommes découvre de ses yeux ébahis les stratégies d'attaques ou de chasse mises au point par ces grands singes, tout comme leurs techniques pour se nourrir, techniques souvent très judicieuses. Ah, la sucette à fourmis !!!! On en vient presque à les envier car ils nous ressemblent tant... Ils sont, je pense, aussi débrouillard que l'homme des cavernes, ne vivent qu'avec ce dont ils ont besoin, et ne sont pas pollués par l'évolution que notre branche humaine a malheureusement suivi.
C'est souvent très drôle d'assister à l'apprentissage des plus jeunes, qui, pour casser des noix (essentielles dans leur nourriture), se frappent l'orteil avec leur marteau improvisé.
Ce film est vraiment conçu pour plaire aux plus jeunes, dès 6 ans. D'ailleurs, les scènes qui pourraient être difficiles ou choquantes dans la vie animale ne sont pas montrées. Les adultes y trouveront un certain compte, sauf que le côté souvent redondant et puéril de la narration ne leur échappera pas.... d'où l'absence de ma 4ème étoile... Dans le genre, j'ai nettement préféré Félins, l'an dernier... mais qui ne nous épargnait pas dans la violence animale.
Ce film mérite bien sûr d'être vu, déjà pour la beauté de ses images et pour son message de tolérance, d'amour et son aspect éducatif et écologique. D'ailleurs, certains bénéfices du film sont reversés à des associations locales de préservation des animaux... Une raison de plus d'aller rendre visite à nos cousins ! 
 
 
 

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Rédigé par Géraldine

Publié dans #Cinéma d'ailleurs

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Publié le 15 Février 2013

http://fr.web.img1.acsta.net/medias/nmedia/18/86/82/68/20400605.jpgSynopsis : Collette, jeune veuve, est une républicaine, vivant à Belfast, avec sa mère et ses frères, de fervents activistes de l’IRA. Suite à son arrestation après un attentat avorté au cœur de Londres, Mac, un agent secret du MI5, lui offre le choix : passer 25 années en prison et ainsi perdre ce qu’elle a de plus cher, son fils, ou espionner sa propre famille. Elle décide de faire confiance à Mac, et retourne parmi les siens…
 
 
 
Avec Clive Owen, Andrea Riseborough, Gillian Anderson
 
 
 
 
 
 
Hitchcock d'Or, Grand prix du Jury, festival du film britannique de Dinard 2012
 
 
 
 
 
 
 
 
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 Mon humble avis : Si l'on a lu Mon Traitre et Retour à Killlibegs de Sorj Chalandon, on ne peut voir ce film sans penser à ces deux romans... C'est d'ailleurs pour cela que je suis allée voir Shadow Dancer, hors de mon cinéma habituel, hors de ma carte d'abonnement. Une curiosité immense, mettre des images sur des mots et comprendre encore un peu plus.
Je suppose que Shadow Dancer représente parfaitement la vie des Irlandais partisants de l'IRA pendant la guerre. Tout est filmé avec une sobriété glaçante, même les dialogues sont minimalistes. C'est donc avant tout un film atmosphérique et qui nous met un peu en double posture... Spectateur et "invité" car nous rentrons vraiment dans la vie, les maisons de ces gens, la tension de leur quotidien, la violence qui peut venir de n'importe où...même de son propre camp, quand on en a encore un.. ... Etrange impression, nous sommes troublés et dérangés. Les Irlandais que la raison pousserait à choisir entre patrie et famille, et qui préfèrent se sacrifier...
Et puis, être arrêtée, ne pas avoir le choix, devenir traître parmi les siens en échange de 25 ans de prison loin de ses enfants...Être prise dans un étau et surveillée de partout : de ce qui vous soupçonne et de ceux qui vous "couvrent". Bref, difficile de parler de ce film, à la force émotionnel puissante et au suspens qui nous garde prisonniers.
Dommage cependant qu'à mes yeux et celles de mes accompagnantes, l'impression à la sortie était de n'être pas sûres d'avoir tout compris. Beaucoup de zones d'ombres, de raccourcis et de pourquoi et comment...
Mais bon, auprès du MI5 (les services secrets britannique), a shadow dancer est un dossier classé confidentiel... En tout cas, le film ne se veut pas moralisateur... Et je n'y ai détecté aucun parti pris. Mais je suis assez ignorante sur le sujet alors, le mieux est que vous vous fassiez votre idée par vous même.
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
  

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Rédigé par Géraldine

Publié dans #Cinéma d'ailleurs

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Publié le 8 Février 2013

http://images.allocine.fr/medias/nmedia/18/94/09/83/20302958.jpgSynopsis : La vie réserve parfois quelques surprises…
Pat Solatano a tout perdu : sa maison, son travail et sa femme. Il se retrouve même dans l’obligation d’emménager chez ses parents.
Malgré tout, Pat affiche un optimisme à toute épreuve et est déterminé à se reconstruire et à renouer avec son ex-femme.
Rapidement, il rencontre Tiffany, une jolie jeune femme ayant eu un parcours mouvementé. Tiffany se propose d’aider Pat à reconquérir sa femme, à condition qu’il lui rende un service en retour. Un lien inattendu commence à se former entre eux et, ensemble, ils vont essayer de reprendre en main leurs vies respectives.
 
 
Avec Bradley Cooper, Robert de Niro et Jennifer Lawrence
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
étoile3etdemi
 
 Mon humble avis : J'ai rarement vu un film aussi mal vendu par une certaine presse et même par son pitch.... celui ci nous fait croire à un film léger, une comédie romantique de plus. L'Express appuie bien dessus en le déclarant "somment de la comédie". Et bien soit nous n'avons pas vu le même film, soit nous n'avons pas le même sens de l'humour. Ce film est tout sauf drôle, même si quelques scènes prêtent à rire ou à sourire, mais jaune dans le fond.  Car ce que le ptich ne dit pas, c'est que Patrick est hospitalisé en HP depuis 8 mois, pour troubles bipolaires aggravés. Ce sont ces troubles qui l'on amené à tout perdre... le film vous dira comment. Sa mère vient le chercher, se porte garante, et le ramène dans la maison familiale qu'habite aussi.... le père.... Bourré de toc, de superstition, d'obsession. Patrick et Tiffany, souffrants tous les deux de troubles psychiques pour différentes raisons, vont se rencontrer, puis s'aider mutuellement à se reconstruire, au début par chantage, puis par plaisir. Ils retrouvent tous les deux un but dans la vie autre que leurs obsessions, leurs hallucinations, leurs phobies. Alors certes, le film s'achève sur une touche romantique, il ne faudrait pas déprimer le spectateur, et puis, c'est vrai, grâce à l'autre, on peut s'en sortir. En tout cela, le film est formidable. Il montre parfaitement ce qu'est la vie sous troubles psychiatriques sévères, quand on vous rend votre liberté et qu'il vous reste à vous reconquérir vous même avant de reconquérir les autres. Le film montre aussi à quel point un foyer peut -être rassurant comme le pire des dangers, qu'une famille, ou une personne peut-être très toxique pour la guérison de ces pathologies. Là dedans, on plaint surtout la mère qui supporte avec patience, dévouement et amour un fils en souffrance et un époux complètement barré. Tout sonne juste dans ce film, depuis les émotions, comme les paniques, comme la lutte contre soit même. Bien sûr, tout cela serait impossible sans d'excellents comédiens. Bradley Copper en tête, même si le mythe de l'acteur sexy +++ en prend un sacré coup avec la tenue qu'il porte la moitié du film : un jogging avec un sac poubelle au dessus. Mais ses yeux, ses gestes, le scénario et les dialogues qui lui sont donnés à jouer, tout rend un fabuleux hommage à ses gens qui font tout pour s'en sortir. La confusion mentale et émotionnel du personnagesest flagrante.
Jennyfer Lawrence, la relative petite nouvelle d'Hollywood n'est pas en reste, dans le personnage de Tiffany, que le décès de son mari a rendu nymphomanes On sent la lutte en elle, la vulnérabilité, puis le respect personnel qui renaît à travers le regard de Patrick, alias Bradley.
Enfin, un final épique et splendide, qui nous donne envie d'y croire, et qui nous fait sortir de la salle avec le sourire, malgré le drame sous-jacent de ce film.
Un seul défaut tout de même, la collection de clichés sur la middle class américaine de banlieue. Happiness Therapy, un film à voir pour son intelligence. Pas pour son côté soit disant comique. Car dans ce cas, vous seriez déçus, ce qui serait dommage, car nous avons là un film de très très bonne qualité sur un sujet pas évident à aborder, sans tomber dans le pathos, ni faire fausse route dans le burlesque. Intelligent, c'est bien suffisant et rare.
 
 
 
 
 

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Rédigé par Géraldine

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Publié le 22 Janvier 2013

http://images.allocine.fr/medias/nmedia/18/35/15/45/20258956.jpgSynopsis : Dans les eaux tropicales de la Grande Barrière de corail, un poisson-clown du nom de Marin mène une existence paisible avec son fils unique, Nemo. Redoutant l'océan et ses risques imprévisibles, il fait de son mieux pour protéger son fils. Comme tous les petits poissons de son âge, celui-ci rêve pourtant d'explorer les mystérieux récifs.
Lorsque Nemo disparaît, Marin devient malgré lui le héros d'une quête unique et palpitante. Le pauvre papa ignore que son rejeton à écailles a été emmené jusque dans l'aquarium d'un dentiste. Marin ne s'engagera pas seul dans l'aventure : la jolie Dory, un poisson-chirurgien bleu à la mémoire défaillante et au grand coeur, va se révéler d'une aide précieuse. Les deux poissons vont affronter d'innombrables dangers, mais l'optimisme de Dory va pousser Marin à surmonter toutes ses peurs.
 
 
Film d'animation, version 3D
 
 
 
 
 
 
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 Mon humble avis : Et non, je n'avais jamais vu Némo, c'était donc une première, et en plus, petit bonus, en version 3D. Bon comme d'habitude, la 3D est bien efficace en début de film. Puis sont effet tend à diminuer, voire à disparaître. Il n'empêche... Que le beauté des mondes sous marin est aussi saisissante ici que lorsque vous y plongez avec votre masque et une bouteille sur le dos. Vraiment, les paysages sous marins sont extrêmement bien rapportés, tout comme la calme agitation qu'amène la multitude de poissons différents en forme, en couleur Du beau monde représentés ici : le poisson chirurgien (Doris), les poissons papillons, une danseuse espagnoles, des hippocampes, des tortues, des raies, bien sûr, des requins effrayants mais pas si méchants que cela... Et puis surtout, ce fameux poisson clown incarnés par Némo et son père. Celui ci, sous l'eau, je n'ai encore jamais eu la chance de le voir ! Certes, on n'en trouve pas en Atlantique, mais en Océan Indien oui. Or aux Seychelles et la à la Réunion : nada !
Bon revenons en au film en lui même. Le scénario tient plus que la route, l'histoire est palpitante et je l'ai même trouvée parfois carrément stressante ! Je me suis demandé quel est le ressenti des enfants .... Mais comme me rassurait la copine qui m'accompagnait,  lorsque je lui disais : "mais c'est tragique !", elle me répondait : "t'inquiète pas trop, on est chez Disney". Bien sûr, l'objectif n'est pas de traumatiser tout le monde ! Ce film palpitant se veut résolument pédagogique, et on peut le dire : objectif atteint, et qui plus est sans lourdeurs. Mais que ce soit pour les rapports parents.enfants, éducation, confiance, obéissance, le message est judicieusement passé Quant à celui du respect des mondes sous marin qui sont fait pour vivre dans l'océan et non dans des aquariums, le message est clair !
Cerise sur le gateau, outre d'être trognon, ce film est aussi très drôle, avec des dialogues et répliques savoureuses, soignées jusqu'au bout des arrêtes !  A voir et à revoir... Il est si doux de s'émerveiller, et à tout âge !
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

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Rédigé par Géraldine

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Publié le 29 Décembre 2012

http://www.cinematon.fr/wp-content/uploads/2012/10/Affiche-Jack-Reacher.jpgSynopsis :   Avertissement : des scènes, des propos ou des images peuvent heurter la sensibilité des spectateurs
Un homme armé fait retentir six coups de feu. Cinq personnes sont tuées. Toutes les preuves accusent l’homme qui a été arrêté. Lors de son interrogatoire, le suspect ne prononce qu’une phrase : « Trouvez Jack Reacher. »
Commence alors une haletante course pour découvrir la vérité, qui va conduire Jack Reacher à affronter un ennemi inattendu mais redoutable, qui garde un lourd secret.
 
 
Thriller avec Tom Cruise, Robert Duval, Rosamund Pike
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
étoile3etdemi
 
 
 Mon humble avis : Diablement efficace, un zest d'humour bienvenu, une intrigue solide, un scénario bien ficelé, de l'action, des rebondissements, des boums et des pans, des pneus qui crissent, des courses poursuites impressionnantes, des dialogues parfois assez niais pour être américains (genre grande leçon de morale sur la liberté), il ne manque rien à e film pour en faire une super divertissement bien captivant, pourvu que l'on aime le genre bien sûr ! On n'est pas chez Ozon ici, mais dans une grosse production hollywoodienne !
Ce qui est génial avec les acteurs, c'est qu'ils peuvent paraître plus intelligents et plus sympathiques dans leurs rôles que dans la vraie vie. J'ai adoré le rôle de Tom Cruise, cet homme mystérieux, sans racine ni valise, mais avec un sacré bagage qui le rend presque invincible. La trombine est toujours agréable, même après une maga baston, alors je pourrais prévoir faire de ce Jack Reacher mon ami, même mon amant !!! Mais bon, dans la vie, il  s'appelle Cruise et quand on signe, c'est pas avec lui, c'est avec la scientologie ! Bref, Tom Cruise défend très bien son personnage, il fait ce qu'il sait faire en en fait ! Car j'ignore si je me trompe, mais il me semble que cela fait un moment qu'on ne le voit que dans des films d'action. Et pourtant, à une époque, il tenait le rôle principal et bouleversant de "né un 4 juillet"...
Mais recentrons nous sur le sujet : le montage est excellent, la mise en scène maîtrisée au centimètre près, les scènes d'action bien chorégraphiées, les indices si gros que personne ne les voit (ni même Jack dans un premier temps, alors ouvrez l'oeil !)
Bref, ce film ne vous laisse pas une minute de répit et remplit grandement son objectif.
J'ignore si Jack Reacher va devenir un personnage récurrent, mais en tout cas, de mon côté, c'est avec plaisir que je le retrouverais dans d'autres aventures.
 
 
  

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Rédigé par Géraldine

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Publié le 14 Décembre 2012

http://images.allocine.fr/medias/nmedia/18/93/43/35/20273834.jpgSynopsis : Dans UN VOYAGE INATTENDU, Bilbon Sacquet cherche à reprendre le Royaume perdu des Nains d'Erebor, conquis par le redoutable dragon Smaug. Alors qu'il croise par hasard la route du magicien Gandalf le Gris, Bilbon rejoint une bande de 13 nains dont le chef n'est autre que le légendaire guerrier Thorin Écu-de-Chêne. Leur périple les conduit au cœur du Pays Sauvage, où ils devront affronter des Gobelins, des Orques, des Ouargues meurtriers, des Araignées géantes, des Métamorphes et des Sorciers…
Bien qu'ils se destinent à mettre le cap sur l'Est et les terres désertiques du Mont Solitaire, ils doivent d'abord échapper aux tunnels des Gobelins, où Bilbon rencontre la créature qui changera à jamais le cours de sa vie : Gollum.
C'est là qu'avec Gollum, sur les rives d'un lac souterrain, le modeste Bilbon Sacquet non seulement se surprend à faire preuve d'un courage et d'une intelligence inattendus, mais parvient à mettre la main sur le "précieux" anneau de Gollum qui recèle des pouvoirs cachés… Ce simple anneau d'or est lié au sort de la Terre du Milieu, sans que Bilbon s'en doute encore…
 
 
Avec Ian McKellen, Martin Freeman, Richard Armitage
 
 
 
 
 
étoile3etdemi 
 
  Mon humble avis : Voici le premier film consacré à Bilbon le Hobbit, sur une trilogie qui en comptera donc bien 3 si vous suivez (sorties prévues en 2013 et 2014), trilogie qui conte les origines d'une autre trilogie qui remonte maintenant à presque 10 ans : Le Seigneur des Anneaux. Six films donc pour rendre hommage à Tolkien, l'auteur des romans éponymes.
Le hobbit, écrit en premier par Tolkien, était destiné à l'origine à ses enfants, donc un jeune public, d'où une histoire plus simple, sans doute aussi plus drôle que dans la trilogie suivante. En effet, ce voyage inattendu donne pas mal d'occasion de rire et de sourire, ce qui est toujours bon à prendre.
Je n'ai pas lu les livres et j'ai vu les 3 premiers films sans être fan absolue. Aussi, je suis allée voir Le Hobbit par pure curiosité cinématographique (le film dure tout de même 2h45). Et finalement, quel bonheur ! J'ai vraiment eu l'impression de me trouver au coeur d'un conte et de légendes (ce qui est sans doute aussi le cas pour le Seigneur...), mais je l'ai pleinement ressenti ici. Ce film est avant tout un spectacle magnifique ! Les paysages, tout d'abord, que l'on sait sis en Nouvelle Zélande.... Dommage que ces terres du milieu soient si lointaines de notre vieille Europe !
Ensuite, les effets spéciaux : magistraux et époustouflants ! Ajoutez à cela une 3 D qui pour une fois fonctionne plutôt bien et se justifie, vous obtenez un vrai régal. La 3 D est par moment si efficace qu'à un moment, lorsque Gandalf et sa bande lance sur leurs ennemis des pommes de pins enflammées, j'ai cru m'en prendre une en pleine poire et me suis décalée pour l'éviter ! Les effets spéciaux, particulièrement bluffant lors de la fuite des nains et lors du passage des monstres de pierre. Je dis superbe, mais attention, si vous ne connaissez pas l'oeuvre, méfiez vous, car les monstres affreux et dégoulinants ne manquent pas non plus. Nous ne sommes pas dans blanche Neige et les 7 nains !
Pour ma part, je vais attendre les deux prochains opus, avant de me lancer dans une "revoyure" des 3 Seigneurs des Anneaux ! Ainsi, j'aurais vu toute l'histoire dans le bon ordre et ainsi, serais peut être un peu moins perdue dans toutes cette tripotée de "méchants" (trolls, gobelin, orques...)que j'ai eu tendance, ici, à confondre un peu... De même, comme nous avons affaire à quelques êtres immortels, la chronologie de l'histoire n'est pas tout fait limpide pour moi !  
La bande originale est aussi délicieuse que les paysages néozélandais et offre une belle atmosphère au film.
Vraiment, j'ai bien aimé ce personnage de Bilbon jeune naïf qui trouve sa place dans une troupe de guerrier nain. Forcément, on y trouve de belle leçon de philosophie, simpliste certes, mais qu'il est toujours bon de remettre en tête.
Le Hobbit : un voyage inattendu, mais aussi un film qui ravira les fans de Tolkien et de la trilogie, et qui accueillera les bras ouverts tout néophites en "Hobbiterie" !
 
 
 
 
 
 
 
 
 

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Rédigé par Géraldine

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Publié le 14 Novembre 2012

Synopsis :

 

Le 4 novembre 1979, au summum de la révolution iranienne, des militants envahissent l’ambassade américaine de Téhéran, et prennent 52 Américains en otage. Mais au milieu du chaos, six Américains réussissent à s’échapper et à se réfugier au domicile de l’ambassadeur canadien. Sachant qu’ils seront inévitablement découverts et probablement tués, un spécialiste de "l’exfiltration" de la CIA du nom de Tony Mendez monte un plan risqué visant à les faire sortir du pays. Un plan si incroyable qu’il ne pourrait exister qu’au cinéma.

 

 

Avec Ben Affleck, John Goodman, Bryan Cranston

 

 

 

 

 

 

 

  

 

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 Mon humble avis : Epoustoufflant ! Attention, je ne parle pas ici d'actions ni d'effets spéciaux inédits... Mais juste d'un film sobre, qui semble n'avoir pour objectif que de dire une vérité et rendre médiatiquement une médaille à qui de droit.

Argo s'ouvre sur une fresque historique faite de dessins qui rappellent vite fait mais clairement l'histoire de l'Iran de ses rois, de la mise en place du Shat par les Américains, jusqu'au renversement et à l'exil de celui ci. Bref, petit cours d'histoire bien nécessaire pour situer l'action du film Argo, tiré d'un événément historique on ne peut plus vrai : Les otages de l'ambassade américaine et les 6 diplomates qui se sont échappés et cachés à l'ambassade Canadienne. Une histoire qui en tout, a duré plus de 400 jours.

Ici, le film se concentre sur l'estraction nécessaire de 6, avant que les révolutionnaires iranniens réalisent leur existence et leur disparition. Les plans les plus absurdes sont proposés par le ministère des affaires étrangères... Mais, c'est Tony Mendez, exfiltreur professionnel, qui proposera le plus fou, mais le seul qui a une chance de réussir. Nous voici dans un engrenage, le montage d'une opération de service sercret sous couvert d'Hollywwood et d'un scénario de série Z : Argo. Et la tension monte, monte à un point terrible. Difficile d'en dire plus...Mais cela se joue à la minute pré !!! Mais imaginez que vous êtes les 6 américains les plus recherchés d'Iran en plein milieu du plus grand souk de la ville. Nouvelles idendités à apprendre, ne faire confiance qu'en un seul homme, sous peine de finir pendu. Vraiment, une tension, un suspens diaboliquement efficace sans l'ombre d'une surenchère. La vérité, telle que connue à ce jour, et rien que la vérité. S'il n'y avait des acteurs, c'est à peine si l'on se croirait au cinéma. Bravo, un film intelligent, efficace, stressant, mais que parsèment de bonnes répliques bien drôles qui détendent parfois l'atmosphère à bon escient.

En 1980, à l'époque du film, j'avais 8 ans. Donc bien sûr,  je ne me souviens pas du tout de cette histoire, qui a du occuper 3 mn d'un cours au lycée. Il y a quelques jours, en regardant les info, je constatais tristement (tristement étant un euphémisme), que notre monde semblait empirer. En fait, non. En 30 ans, les choses n'ont pas bougé, ou si peu. Les ennemis ont un peu changé de visage et de positions géographiques, mais nous sommes toujours assis sur la même poudrière. Et dans l'ombre, des hommes évitent parfois le pire. Chapeau à eux.

 

  

  

 

 

 

 

 

 

 

 

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Rédigé par Géraldine

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Publié le 23 Septembre 2012

Synopsis : On croyait tout connaître de l'histoire de Jason Bourne et de son passé d’agent tueur malgré lui. Mais l’essentiel restait à découvrir. Le programme Treadstone dont Jason était le cobaye n’était que la partie émergée d’une conspiration plus ténébreuse, ourdie par d’autres branches du gouvernement et mettant en jeu d’autres agences de renseignement, d’autres programmes militaires, d’autres laboratoires secrets…
De Treadstone est né "Outcome", dont Aaron Cross est un des six agents. Sa finalité n’est plus de fabriquer des tueurs, mais des hommes capables d’assurer isolément des missions à haut risque. En dévoilant une partie de cette organisation, Jason laissait derrière lui un "héritage" explosif : compromis, les agents "Outcome" sont désormais promis à une liquidation brutale. Effacés à jamais pour que le "père" du programme, le Colonel Byer puisse poursuivre ses sinistres activités.
Une gigantesque chasse à l’homme commence, et Cross, devenue sa première cible, n’a d’autre recours que de retrouver et gagner la confiance de la biochimiste d’"Outcome", Marta Shearing, elle-même menacée de mort…

 

Avec Jeremy Renner, Rachel Weisz, Edward Norton

 

 

 

 

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Mon humble avis : Les années passent et les héros de ciné changent de visage en substituant les comédiens qui prennent, en douceur, le relais pour imposer leur propre personnage. En douceur, c'est beaucoup dire ! ce n'est pas ce qu'on recherche en allant visionner ce genre de film ! On veut que ça bouge, que ça fonce, que ça cascade, que ça dégomme 10 gars en 2 secondes et 3 mouvements, que ça court, que ça impressionne, que ça en mette plein les yeux et que, quelque part, cela fasse rêver ? Curieux non de rêver face à ce monde d'agences secrètes ou officielles, d'espions reconnus ou sous couvert, où même un requin gueule béante ressemble à un bisounours !

Et bien il y a tout cela dans Jason Bourne l'héritage, qui bénéficie d'un scénario original là où les 3 premiers opus étaient des adaptions des romans de Robert Ludlum. Prenons les choses dans l'ordre... Pas besoin d'avoir vu les 3 premiers opus de la série pour apprécier celui ci. L'héritage peut se voir comme une suite, un nouveau départ, ou un film "isolé". Il y a de l'action et des atouts charmes pour les deux sexes. Et de toute façon, à moins d'être archi fan et de connaître les 3 premiers PAR COEUR, vous serez je pense, comme moi, complètement paumée pendant les premières vingt minutes. Des personnages en cols blancs pas très catholiques se succèdent sans que l'on sache vraiment qui est qui, qui travaille pour qui, qui est de la CIA, qui est militaire, qui est.... Bref, un début de scénario et des dialogues que seuls doivent comprendre les scénaristes eux mêmes ou toute autre personne qui aurait, depuis le début, pris un papier et un stylo pour dessiner un organigramme de tout ce beau monde...

Donc 20 mn un peu difficiles chez les cols blanc, sachant qu'à l'autre bout du monde, Aaron Cross, le nouveau héro, traverse une chaine de montagne digne de l'Himalaya comme vous traverseriez un passage piéton un jour d'affluence !

Puis l'action commence et ne s'arrête plus, jusqu'à la fin. On se régale, même si l'on sait et l'on remarque que le cahier des charges n'évoluent pas d'épisode en épisode, sans doute parce que la recette fonctionne. Forcément, on a droit à une course poursuite magistrale moto/voiture etc.... C'est diaboliquement efficace, même si c'est parfois risible... Mais le risible s'explique puisque on nous apprend très vite que quelques agents ont été génétiquement modifiés pour devenir plus forts, plus intelligents... Donc forcement, le scénario obtient ainsi tout les droits dans la surenchère des prouesses physiques de nos agents, qui deviennent donc plausibles... Vous me suivez ? Même si, dans l'absolu, pas grand chose de neuf, mais le plaisir est toujours là !

Et qu'en est il du personnage d'Aaron Cross et de son interprête, Jeremy Renner (vu récemment dans the Avengers) ?

Il se défent plutôt bien ! Forcément, c'est un sur-homme !!! Bon, pour moi, il n'a pas le même charme et la même épaisseur que Matt Damon. Mais cela pourrait venir. Je pense qu'il lui manque le mystérieux passé de Jason Bourne. Mais le personnage peut plaire et s'installer durablement je pense dans cette série.  Car la fin est claire, il y aura une suite !!! Oui, la relève semble assurer... Même si... Il serait question d'un 5ème film qui verrait se recontrer les deux agents, Jason Bourne et Aaron Cross, donc les deux acteurs, Matt Damon et Jeremy Renner ! A eux deux, ils seront trop forts, ils mettront la pâtée à tout le monde et rayeront de la carte tous les méchants  Bon, en même temps, rien est fait, car il reste un problème majeur, Matt Damon n'aurait pas encore donné son accord. Bon, Matt, faut qu'on discute ! Tu signes ce putain de contrat à plusieurs millions de dollars et tu tournes ce film ! Ne m'oblige pas à débarquer à L.A avec un flingue en plastique pour te menacer ! Allez Matt, signe, si tu veux pas le flingue, j'ai peut-être d'autres arguments ???

 

 

 

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Rédigé par Géraldine

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Publié le 7 Août 2012

Synopsis :

Il y a huit ans, Batman a disparu dans la nuit : lui qui était un héros est alors devenu un fugitif. S'accusant de la mort du procureur-adjoint Harvey Dent, le Chevalier Noir a tout sacrifié au nom de ce que le commissaire Gordon et lui-même considéraient être une noble cause. Et leurs actions conjointes se sont avérées efficaces pour un temps puisque la criminalité a été éradiquée à Gotham City grâce à l'arsenal de lois répressif initié par Dent.
Mais c'est un chat – aux intentions obscures – aussi rusé que voleur qui va tout bouleverser. À moins que ce ne soit l'arrivée à Gotham de Bane, terroriste masqué, qui compte bien arracher Bruce à l'exil qu'il s'est imposé. Pourtant, même si ce dernier est prêt à endosser de nouveau la cape et le casque du Chevalier Noir, Batman n'est peut-être plus de taille à affronter Bane…

 

 

Avec : Christian Bale, Gary Oldman, Marion Cotillard, Tom Hardy, Morgan Freeman, Anne Hathaway

 

 

 

 

 

 

étoile2.5

 

 

Mon humble avis : Mon réseau d'informateurs avertis m'a affirmé que le film était excellent. Batman, je ne connaissais que de nom et de silhouette, mais je n'avais jamais vu ni dessins animés ni films lui étant consacrés. Alors curiosité oblige, je suis allée faire un tour dans une salle obscure par un sale après midi d'été.

Effectivement, les premières minutes sont époustouflantes de réussite dans les effets spéciaux and co. Nous assistons (en plein air bien entendu), à l'assaut d'un avion moyen par un énorme avion, avec hommes hélitreuillés ect, c'est franchement phénoménal ! Sauf que déjà à cet instant, il n'est pas évident de distinguer les deux parties en courses (méchants contre gentils, gentils contre autres gentils, méchants contre très méchants ?) et que par la suite, mise à part l'intérêt visuel et spectaculaire indéniable de la scène, je n'en verrai pas d'autre au long du film.

Cet opus est très sombre, très moralisateur, beaucoup trop dans la rédemption. Les harangues des méchants voulant rétablir la justice équitable mais incontestable m'ont souvent parus interminables. Bref, malgré des beaux effets spéciaux, des scènes de combats, du suspens, j'ai déploré quelques longueurs et répétitions, le tout dans un scénario un peu flou. Un sénateur disparaît...est-il retrouvé, quelles conséquences ??? Bien sûr, mon pauvre esprit a bien saisi l'aspect manichéen du film et les exploits visuels. Pour le reste, je suis un peu déçue. Certes, j'adore en général tous les héros masqués... Et bien Batman ne m'a pas séduite plus que cela. Il faut dire qu'il n'est pas tant présent que ça dans cet opus et qu'il est montré souvent affaibli et malmené par ses ennemis, limite en loques. Hors pour moi, voir un super héros en mauvaise posture et loin du glamour de sa réputation m'est insupportable !  Bon, ne vous inquiétez pas non plus, of course que les super héros trouvent toujours des ressources insoupçonnées pour s'en sortir. Mais bon, je ne suis pas plus emballée que ça. Soit c'est à cause de Batman, soit à cause de Christopher Nolan. L'un des deux n'est pas fait pour moi. Peut-être le réalisateur dont le film précédent, Inception, c'était transformé pour moi en big deception !

Le réalisteur informait le public que ce 3ème film de Batman serait le dernier.... hum, hum, la fin ouvre franchement la grande porte à une suite potentielle.

Ah, j'allais oublier... Ma copine Marion Cotillard. Comme d'hab, un rôle fade et lisse comme un maquillage qui ne change pas, même si son personnage offre un bon rebondissement au film. Je vais me répéter, mais les américains lui confient toujours les mêmes rôles presque "copiés / collés, où l'actrice n'a pas trop l'occasion de démontrer l'étendue de son talent. Marion, je vous en conjure, restez en France où vous avez des rôles à votre démesure, comme dans de Rouille et d'Os.

Maintenant que j'arrive au bout de ce billet, il serait bon de préciser que peut-être, si j'avais vu les deux films précédents, mon attachement à Batman aurait été tout autre et mon avis plus enthousiaste. Mais m'est avis que là où un second degré aurait fait la différence, le film s'enfonce dans le premier degré des méchants riches contre les gentils pauvres... avec comme sauveur un gentil très riche ruiné par les vengeurs pauvres. Mouais...  Donc.... faites vos jeux !

 

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Rédigé par Géraldine

Publié dans #Cinéma d'ailleurs

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Publié le 28 Juillet 2012

Synopsis :

 

Relecture moderne et dynamique de la pièce La Ronde, d'Arthur Schnitzer. Une histoire d'amour chorale où les destins de personnages d'horizons différents s'entrecroisent.

 

 

 

 

Avec Anthony Hopkins, Jude Law, Rachel Weisz, Jamel Debbouze, Maria Flor...

 

 

  

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Mon humble avis : Une bande annonce allechante, qui semble promettre un film bien rythmé, avec une belle brochette d'acteurs. Pour ce dernier point, la promesse est tenue. C'est un plaisir de voir sur la même bobine Jude Law, Antony Hopkins, Jamel Debbouzze, Rachel Weisz, tous au diapason. Les comédiens moins connus méritent franchement de l'être. Alors, je dirais encore un film sauvé par les acteurs !

Car à ce film choral, il manque un chef d'orchestre qui aurait battu la mesure avec punch. Tout est lent, gris (forcément, l'histoire de passe en hiver). C'est l'histoire d'une personne qui rencontre / ou pas une autre personne et de ce fait, la personne suivante rencontre ou pas une autre personne et ainsi de suite. Mais en fait, le vrai sujet du film, ce sont les fautes que l'on commet (ou pas) et leurs répercussions sur nos vies et celles des autres. Notre libre arbitre, nos décisions concernent également l'autre. Des liens entre personnages sont bien trouvés et à un moment, notre rythme cardiaque s'accélère même quand la jeune Brésilienne, en rade dans un aéroport de Denver recouvert de neige, invite sans le savoir un déliquant sexuel dans sa chambre. Ces moments intenses ou délicats sont rares et rapides, alors il faut les saisir. Car, la rencontre entre d'autrespersonnages semblent vraiment trop tomber au moment opportun, cela manque de naturel, on n'y croit pas (par exemple, la femme au béret rouge et Antony Hopkins dans un groupe genre alcoolique anonyme à l'autre bout du monde par rapport à chez eux...) Bref, il eut été préférable de ne pas trop multiplier les personnages pour s'intéresser plus en profondeur à certains d'entre eux, ne pas avoir une suite de scénes trop courtes, qui laissent le spectateur plutôt sur sa fin, malgré l'impression de longueur, lenteur, de pesanteur qui émerge de 360.

 

 

 

 

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Rédigé par Géraldine

Publié dans #Cinéma d'ailleurs

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