Publié le 26 Février 2013
Articles avec #cinema d'ailleurs tag
Publié le 15 Février 2013
Publié le 8 Février 2013
Pat Solatano a tout perdu : sa maison, son travail et sa femme. Il se retrouve même dans l’obligation d’emménager chez ses parents.
Malgré tout, Pat affiche un optimisme à toute épreuve et est déterminé à se reconstruire et à renouer avec son ex-femme.
Rapidement, il rencontre Tiffany, une jolie jeune femme ayant eu un parcours mouvementé. Tiffany se propose d’aider Pat à reconquérir sa femme, à condition qu’il lui rende un service en retour. Un lien inattendu commence à se former entre eux et, ensemble, ils vont essayer de reprendre en main leurs vies respectives.
Un seul défaut tout de même, la collection de clichés sur la middle class américaine de banlieue. Happiness Therapy, un film à voir pour son intelligence. Pas pour son côté soit disant comique. Car dans ce cas, vous seriez déçus, ce qui serait dommage, car nous avons là un film de très très bonne qualité sur un sujet pas évident à aborder, sans tomber dans le pathos, ni faire fausse route dans le burlesque. Intelligent, c'est bien suffisant et rare.
Publié le 22 Janvier 2013
Lorsque Nemo disparaît, Marin devient malgré lui le héros d'une quête unique et palpitante. Le pauvre papa ignore que son rejeton à écailles a été emmené jusque dans l'aquarium d'un dentiste. Marin ne s'engagera pas seul dans l'aventure : la jolie Dory, un poisson-chirurgien bleu à la mémoire défaillante et au grand coeur, va se révéler d'une aide précieuse. Les deux poissons vont affronter d'innombrables dangers, mais l'optimisme de Dory va pousser Marin à surmonter toutes ses peurs.
Publié le 29 Décembre 2012
Commence alors une haletante course pour découvrir la vérité, qui va conduire Jack Reacher à affronter un ennemi inattendu mais redoutable, qui garde un lourd secret.
Publié le 14 Décembre 2012
Bien qu'ils se destinent à mettre le cap sur l'Est et les terres désertiques du Mont Solitaire, ils doivent d'abord échapper aux tunnels des Gobelins, où Bilbon rencontre la créature qui changera à jamais le cours de sa vie : Gollum.
C'est là qu'avec Gollum, sur les rives d'un lac souterrain, le modeste Bilbon Sacquet non seulement se surprend à faire preuve d'un courage et d'une intelligence inattendus, mais parvient à mettre la main sur le "précieux" anneau de Gollum qui recèle des pouvoirs cachés… Ce simple anneau d'or est lié au sort de la Terre du Milieu, sans que Bilbon s'en doute encore…
Vraiment, j'ai bien aimé ce personnage de Bilbon jeune naïf qui trouve sa place dans une troupe de guerrier nain. Forcément, on y trouve de belle leçon de philosophie, simpliste certes, mais qu'il est toujours bon de remettre en tête.
Publié le 14 Novembre 2012
Synopsis :
Le 4 novembre 1979, au summum de la révolution iranienne, des militants envahissent l’ambassade américaine de Téhéran, et prennent 52 Américains en otage. Mais au milieu du chaos, six Américains réussissent à s’échapper et à se réfugier au domicile de l’ambassadeur canadien. Sachant qu’ils seront inévitablement découverts et probablement tués, un spécialiste de "l’exfiltration" de la CIA du nom de Tony Mendez monte un plan risqué visant à les faire sortir du pays. Un plan si incroyable qu’il ne pourrait exister qu’au cinéma.
Avec Ben Affleck, John Goodman, Bryan Cranston
Mon humble avis : Epoustoufflant ! Attention, je ne parle pas ici d'actions ni d'effets spéciaux inédits... Mais juste d'un film sobre, qui semble n'avoir pour objectif que de dire une vérité et rendre médiatiquement une médaille à qui de droit.
Argo s'ouvre sur une fresque historique faite de dessins qui rappellent vite fait mais clairement l'histoire de l'Iran de ses rois, de la mise en place du Shat par les Américains, jusqu'au renversement et à l'exil de celui ci. Bref, petit cours d'histoire bien nécessaire pour situer l'action du film Argo, tiré d'un événément historique on ne peut plus vrai : Les otages de l'ambassade américaine et les 6 diplomates qui se sont échappés et cachés à l'ambassade Canadienne. Une histoire qui en tout, a duré plus de 400 jours.
Ici, le film se concentre sur l'estraction nécessaire de 6, avant que les révolutionnaires iranniens réalisent leur existence et leur disparition. Les plans les plus absurdes sont proposés par le ministère des affaires étrangères... Mais, c'est Tony Mendez, exfiltreur professionnel, qui proposera le plus fou, mais le seul qui a une chance de réussir. Nous voici dans un engrenage, le montage d'une opération de service sercret sous couvert d'Hollywwood et d'un scénario de série Z : Argo. Et la tension monte, monte à un point terrible. Difficile d'en dire plus...Mais cela se joue à la minute pré !!! Mais imaginez que vous êtes les 6 américains les plus recherchés d'Iran en plein milieu du plus grand souk de la ville. Nouvelles idendités à apprendre, ne faire confiance qu'en un seul homme, sous peine de finir pendu. Vraiment, une tension, un suspens diaboliquement efficace sans l'ombre d'une surenchère. La vérité, telle que connue à ce jour, et rien que la vérité. S'il n'y avait des acteurs, c'est à peine si l'on se croirait au cinéma. Bravo, un film intelligent, efficace, stressant, mais que parsèment de bonnes répliques bien drôles qui détendent parfois l'atmosphère à bon escient.
En 1980, à l'époque du film, j'avais 8 ans. Donc bien sûr, je ne me souviens pas du tout de cette histoire, qui a du occuper 3 mn d'un cours au lycée. Il y a quelques jours, en regardant les info, je constatais tristement (tristement étant un euphémisme), que notre monde semblait empirer. En fait, non. En 30 ans, les choses n'ont pas bougé, ou si peu. Les ennemis ont un peu changé de visage et de positions géographiques, mais nous sommes toujours assis sur la même poudrière. Et dans l'ombre, des hommes évitent parfois le pire. Chapeau à eux.
Publié le 23 Septembre 2012
Synopsis : On croyait tout connaître de l'histoire de Jason Bourne et de son passé d’agent tueur malgré lui. Mais l’essentiel restait à découvrir. Le programme Treadstone dont Jason était le cobaye n’était que la partie émergée d’une conspiration plus ténébreuse, ourdie par d’autres branches du gouvernement et mettant en jeu d’autres agences de renseignement, d’autres programmes militaires, d’autres laboratoires secrets…
De Treadstone est né "Outcome", dont Aaron Cross est un des six agents. Sa finalité n’est plus de fabriquer des tueurs, mais des hommes capables d’assurer isolément des missions à haut risque. En dévoilant une partie de cette organisation, Jason laissait derrière lui un "héritage" explosif : compromis, les agents "Outcome" sont désormais promis à une liquidation brutale. Effacés à jamais pour que le "père" du programme, le Colonel Byer puisse poursuivre ses sinistres activités.
Une gigantesque chasse à l’homme commence, et Cross, devenue sa première cible, n’a d’autre recours que de retrouver et gagner la confiance de la biochimiste d’"Outcome", Marta Shearing, elle-même menacée de mort…
Avec Jeremy Renner, Rachel Weisz, Edward Norton
Mon humble avis : Les années passent et les héros de ciné changent de visage en substituant les comédiens qui prennent, en douceur, le relais pour imposer leur propre personnage. En douceur, c'est beaucoup dire ! ce n'est pas ce qu'on recherche en allant visionner ce genre de film ! On veut que ça bouge, que ça fonce, que ça cascade, que ça dégomme 10 gars en 2 secondes et 3 mouvements, que ça court, que ça impressionne, que ça en mette plein les yeux et que, quelque part, cela fasse rêver ? Curieux non de rêver face à ce monde d'agences secrètes ou officielles, d'espions reconnus ou sous couvert, où même un requin gueule béante ressemble à un bisounours !
Et bien il y a tout cela dans Jason Bourne l'héritage, qui bénéficie d'un scénario original là où les 3 premiers opus étaient des adaptions des romans de Robert Ludlum. Prenons les choses dans l'ordre... Pas besoin d'avoir vu les 3 premiers opus de la série pour apprécier celui ci. L'héritage peut se voir comme une suite, un nouveau départ, ou un film "isolé". Il y a de l'action et des atouts charmes pour les deux sexes. Et de toute façon, à moins d'être archi fan et de connaître les 3 premiers PAR COEUR, vous serez je pense, comme moi, complètement paumée pendant les premières vingt minutes. Des personnages en cols blancs pas très catholiques se succèdent sans que l'on sache vraiment qui est qui, qui travaille pour qui, qui est de la CIA, qui est militaire, qui est.... Bref, un début de scénario et des dialogues que seuls doivent comprendre les scénaristes eux mêmes ou toute autre personne qui aurait, depuis le début, pris un papier et un stylo pour dessiner un organigramme de tout ce beau monde...
Donc 20 mn un peu difficiles chez les cols blanc, sachant qu'à l'autre bout du monde, Aaron Cross, le nouveau héro, traverse une chaine de montagne digne de l'Himalaya comme vous traverseriez un passage piéton un jour d'affluence !
Puis l'action commence et ne s'arrête plus, jusqu'à la fin. On se régale, même si l'on sait et l'on remarque que le cahier des charges n'évoluent pas d'épisode en épisode, sans doute parce que la recette fonctionne. Forcément, on a droit à une course poursuite magistrale moto/voiture etc.... C'est diaboliquement efficace, même si c'est parfois risible... Mais le risible s'explique puisque on nous apprend très vite que quelques agents ont été génétiquement modifiés pour devenir plus forts, plus intelligents... Donc forcement, le scénario obtient ainsi tout les droits dans la surenchère des prouesses physiques de nos agents, qui deviennent donc plausibles... Vous me suivez ? Même si, dans l'absolu, pas grand chose de neuf, mais le plaisir est toujours là !
Et qu'en est il du personnage d'Aaron Cross et de son interprête, Jeremy Renner (vu récemment dans the Avengers) ?
Il se défent plutôt bien ! Forcément, c'est un sur-homme !!! Bon, pour moi, il n'a pas le même charme et la même épaisseur que Matt Damon. Mais cela pourrait venir. Je pense qu'il lui manque le mystérieux passé de Jason Bourne. Mais le personnage peut plaire et s'installer durablement je pense dans cette série. Car la fin est claire, il y aura une suite !!! Oui, la relève semble assurer... Même si... Il serait question d'un 5ème film qui verrait se recontrer les deux agents, Jason Bourne et Aaron Cross, donc les deux acteurs, Matt Damon et Jeremy Renner ! A eux deux, ils seront trop forts, ils mettront la pâtée à tout le monde et rayeront de la carte tous les méchants Bon, en même temps, rien est fait, car il reste un problème majeur, Matt Damon n'aurait pas encore donné son accord. Bon, Matt, faut qu'on discute ! Tu signes ce putain de contrat à plusieurs millions de dollars et tu tournes ce film ! Ne m'oblige pas à débarquer à L.A avec un flingue en plastique pour te menacer ! Allez Matt, signe, si tu veux pas le flingue, j'ai peut-être d'autres arguments ???
Publié le 7 Août 2012
Synopsis :
Il y a huit ans, Batman a disparu dans la nuit : lui qui était un héros est alors devenu un fugitif. S'accusant de la mort du procureur-adjoint Harvey Dent, le Chevalier Noir a tout sacrifié au nom de ce que le commissaire Gordon et lui-même considéraient être une noble cause. Et leurs actions conjointes se sont avérées efficaces pour un temps puisque la criminalité a été éradiquée à Gotham City grâce à l'arsenal de lois répressif initié par Dent.
Mais c'est un chat – aux intentions obscures – aussi rusé que voleur qui va tout bouleverser. À moins que ce ne soit l'arrivée à Gotham de Bane, terroriste masqué, qui compte bien arracher Bruce à l'exil qu'il s'est imposé. Pourtant, même si ce dernier est prêt à endosser de nouveau la cape et le casque du Chevalier Noir, Batman n'est peut-être plus de taille à affronter Bane…
Avec : Christian Bale, Gary Oldman, Marion Cotillard, Tom Hardy, Morgan Freeman, Anne Hathaway
Mon humble avis : Mon réseau d'informateurs avertis m'a affirmé que le film était excellent. Batman, je ne connaissais que de nom et de silhouette, mais je n'avais jamais vu ni dessins animés ni films lui étant consacrés. Alors curiosité oblige, je suis allée faire un tour dans une salle obscure par un sale après midi d'été.
Effectivement, les premières minutes sont époustouflantes de réussite dans les effets spéciaux and co. Nous assistons (en plein air bien entendu), à l'assaut d'un avion moyen par un énorme avion, avec hommes hélitreuillés ect, c'est franchement phénoménal ! Sauf que déjà à cet instant, il n'est pas évident de distinguer les deux parties en courses (méchants contre gentils, gentils contre autres gentils, méchants contre très méchants ?) et que par la suite, mise à part l'intérêt visuel et spectaculaire indéniable de la scène, je n'en verrai pas d'autre au long du film.
Cet opus est très sombre, très moralisateur, beaucoup trop dans la rédemption. Les harangues des méchants voulant rétablir la justice équitable mais incontestable m'ont souvent parus interminables. Bref, malgré des beaux effets spéciaux, des scènes de combats, du suspens, j'ai déploré quelques longueurs et répétitions, le tout dans un scénario un peu flou. Un sénateur disparaît...est-il retrouvé, quelles conséquences ??? Bien sûr, mon pauvre esprit a bien saisi l'aspect manichéen du film et les exploits visuels. Pour le reste, je suis un peu déçue. Certes, j'adore en général tous les héros masqués... Et bien Batman ne m'a pas séduite plus que cela. Il faut dire qu'il n'est pas tant présent que ça dans cet opus et qu'il est montré souvent affaibli et malmené par ses ennemis, limite en loques. Hors pour moi, voir un super héros en mauvaise posture et loin du glamour de sa réputation m'est insupportable ! Bon, ne vous inquiétez pas non plus, of course que les super héros trouvent toujours des ressources insoupçonnées pour s'en sortir. Mais bon, je ne suis pas plus emballée que ça. Soit c'est à cause de Batman, soit à cause de Christopher Nolan. L'un des deux n'est pas fait pour moi. Peut-être le réalisateur dont le film précédent, Inception, c'était transformé pour moi en big deception !
Le réalisteur informait le public que ce 3ème film de Batman serait le dernier.... hum, hum, la fin ouvre franchement la grande porte à une suite potentielle.
Ah, j'allais oublier... Ma copine Marion Cotillard. Comme d'hab, un rôle fade et lisse comme un maquillage qui ne change pas, même si son personnage offre un bon rebondissement au film. Je vais me répéter, mais les américains lui confient toujours les mêmes rôles presque "copiés / collés, où l'actrice n'a pas trop l'occasion de démontrer l'étendue de son talent. Marion, je vous en conjure, restez en France où vous avez des rôles à votre démesure, comme dans de Rouille et d'Os.
Maintenant que j'arrive au bout de ce billet, il serait bon de préciser que peut-être, si j'avais vu les deux films précédents, mon attachement à Batman aurait été tout autre et mon avis plus enthousiaste. Mais m'est avis que là où un second degré aurait fait la différence, le film s'enfonce dans le premier degré des méchants riches contre les gentils pauvres... avec comme sauveur un gentil très riche ruiné par les vengeurs pauvres. Mouais... Donc.... faites vos jeux !
Publié le 28 Juillet 2012
Synopsis :
Relecture moderne et dynamique de la pièce La Ronde, d'Arthur Schnitzer. Une histoire d'amour chorale où les destins de personnages d'horizons différents s'entrecroisent.
Avec Anthony Hopkins, Jude Law, Rachel Weisz, Jamel Debbouze, Maria Flor...
Mon humble avis : Une bande annonce allechante, qui semble promettre un film bien rythmé, avec une belle brochette d'acteurs. Pour ce dernier point, la promesse est tenue. C'est un plaisir de voir sur la même bobine Jude Law, Antony Hopkins, Jamel Debbouzze, Rachel Weisz, tous au diapason. Les comédiens moins connus méritent franchement de l'être. Alors, je dirais encore un film sauvé par les acteurs !
Car à ce film choral, il manque un chef d'orchestre qui aurait battu la mesure avec punch. Tout est lent, gris (forcément, l'histoire de passe en hiver). C'est l'histoire d'une personne qui rencontre / ou pas une autre personne et de ce fait, la personne suivante rencontre ou pas une autre personne et ainsi de suite. Mais en fait, le vrai sujet du film, ce sont les fautes que l'on commet (ou pas) et leurs répercussions sur nos vies et celles des autres. Notre libre arbitre, nos décisions concernent également l'autre. Des liens entre personnages sont bien trouvés et à un moment, notre rythme cardiaque s'accélère même quand la jeune Brésilienne, en rade dans un aéroport de Denver recouvert de neige, invite sans le savoir un déliquant sexuel dans sa chambre. Ces moments intenses ou délicats sont rares et rapides, alors il faut les saisir. Car, la rencontre entre d'autrespersonnages semblent vraiment trop tomber au moment opportun, cela manque de naturel, on n'y croit pas (par exemple, la femme au béret rouge et Antony Hopkins dans un groupe genre alcoolique anonyme à l'autre bout du monde par rapport à chez eux...) Bref, il eut été préférable de ne pas trop multiplier les personnages pour s'intéresser plus en profondeur à certains d'entre eux, ne pas avoir une suite de scénes trop courtes, qui laissent le spectateur plutôt sur sa fin, malgré l'impression de longueur, lenteur, de pesanteur qui émerge de 360.